Utilisé depuis toujours et dans toutes les civilisations pour son pouvoir sucrant, le miel a très vite été reconnu pour ses propriétés thérapeutiques et curatives.
Cependant, en moins de 300 ans, sa consommation a chuté, pour devenir négligeable, en raison de l’arrivée sur le marché d’autres variétés de sucre, plus ou moins favorables à la santé.
Sans parler des sucres de substitution, type aspartame, les trois principaux sucres à notre disposition sont le miel, le sucre de canne et le sucre de betterave. Ce sont des glucides, ou hydrates de carbone.
Il existe les sucres simples, les monosaccharides. Ce sont les glucoses ou dextrose et le fructose.
Il existe, à leurs côtés, les sucres composés, les polysaccharides. Ce sont, principalement, le saccharose(C12H22O11) et l’amidon. Vous vous en doutez, les sucres composés sont plus longs à assimiler pour l’organisme, que les sucres simples.
En effet, les sucres simples ne nécessitent pas de digestion préalable pour être utilisés par l’organisme. Alors que les sucres composés doivent, d’abord, être transformés en sucres simples, pendant la digestion, pour être utilisés.
Le miel fait partie des sucres simples, compte tenu de sa composition. Et c’est bien là, tout son intérêt. Son assimilation rapide par l’organisme permet son utilisation plus rapide par les cellules.
Dans notre alimentation, aujourd’hui, les sucres sont très présents dans la composition des produits de consommation quotidienne. Cette forte présence provoque des complications pour la santé, notamment avec le diabète.
Cependant, même s’il est souvent conseillé de privilégier le miel au sucre, attention à la consommation de miel pour les personnes souffrant de diabète.